Qui mange votre culture de légumes?
En raison de l'urbanisation non libérée en Pologne, les animaux sauvages apparaissent de plus en plus près des maisons et des jardins. Les oiseaux, les sangliers, les renards, les martens et le plus souvent associés à ce cerf à thème et aux lièvres, peuvent causer des dommages importants aux cultures de légumes – ils mangent de jeunes plantes, sapent les parterres de fleurs ou détruire les cultures juste avant la récolte. Dans de telles situations, il vaut la peine d'utiliser des clôtures basses, des couvertures en maillage ou des tapis de protection qui limitent efficacement l'accès au jardin.
Une protection efficace, cependant, nécessite l'utilisation de diverses méthodes en même temps, car les animaux s'habituent rapidement aux stimuli sonores et parfumés. Les meilleurs résultats sont combinés par la combinaison de barrières physiques, de dissuasion naturelle et de solutions technologiques modernes.
Méthodes de protection physique contre les animaux
La première étape à considérer est de créer une véritable barrière qui empêchera les animaux d'accéder à un jardin ou à une culture. Selon les espèces auxquelles nous avons affaire, diverses solutions peuvent être utilisées – des clôtures simples aux systèmes dissuasifs plus avancés.
Fence – le moyen le plus simple et le plus efficace
La barrière physique est la base de la protection des cultures. Une clôture solide durable avec un maillage correctement sélectionné (tressé ou soudé, de préférence en métal) vous permet de limiter l'accès de la plupart des animaux. La hauteur de la clôture doit être adaptée aux espèces d'intrus: pour les cerfs et les cerfs au moins 1,5 à 2 m, pour les sangliers, il est également important de sécuriser la partie inférieure de la clôture, par ex. En enfouissant le maillage à une profondeur d'environ 30 cm. Il convient également de se rappeler de contrôler régulièrement la clôture – les animaux peuvent saper ou trouver des points faibles de la structure.
Berger électrique – une barrière efficace pour les plus grands animaux
Lorsque la clôture s'avère insuffisante ou trop chère, il vaut la peine de considérer l'utilisation d'un berger électrique, c'est-à-dire une clôture de tension. Le système se compose de câbles de tension et d'un générateur d'impulsions. Il n'est pas dangereux, mais effraye efficacement les animaux après le contact. Cette forme de protection est particulièrement recommandée pour les sangliers et les cerfs. Il est important d'organiser correctement les câbles (à différentes hauteurs) et leur tension adaptée à une menace spécifique.
Réseau contre les oiseaux – Protection simple des lits et des arbustes
Une protection efficace contre les oiseaux sauvages est des filets protecteurs étendus sur des parterres de fleurs ou des buissons de fruits. Ils empêchent les oiseaux d'accéder aux cultures sans nuire aux plantes. Il convient de se rappeler, cependant, qu'il est nécessaire qu'ils soient bien et étroitement attachés au sol – les oiseaux sont intelligents et peuvent facilement les entrer pour se rendre à leurs fruits et légumes préférés.
Moyens naturels de dissuader les animaux sauvages
Les plantes et les agents avec une odeur intense peuvent agir comme des répulsifs naturels. Il convient également de mentionner qu'ils sont l'alternative la plus fréquemment choisie lorsque nous devons protéger le jardin non pas contre les animaux sauvages, mais contre les chiens et les chats qui endommagent sans le savoir les remises. Les solutions populaires comprennent:
- Des préparations basées sur l'ail, le poivre chaud, la menthe ou l'huile de ricin – leur odeur intense et leur effet irritant découragent efficacement les animaux d'approcher les plantes. Vous pouvez les acheter prêts ou vous préparer;
- Les émulsions des œufs – sont la pulvérisation à base d'œufs crus, qui après pulvérisation forment une couche qui repousse leur désagréable, gâchant l'odeur des œufs sur les plantes. Ils travaillent pendant longtemps, ils sont renouvelés toutes les 1 à 2 semaines;
- Augmente de la tansy ou de l'ortie – ils ont une forte odeur et des propriétés dissuastiques naturelles, en particulier face aux insectes et aux petits mammifères. Conviennent à la pulvérisation et à l'arrosage des plantes;
- Planter des plantes avec un arôme intense (lavande, calendula, menthe) – ces espèces agissent comme une barrière de parfum naturelle et peuvent limiter l'intérêt pour le jardin d'animaux sauvages. De plus, ils améliorent l'esthétique des cultures.
L'utilisation de parfums pour repousser les animaux est malheureusement relativement courte – ils doivent être renouvelés, surtout après la pluie. Ils ne sont pas toujours efficaces avec une forte gravité de la présence d'animaux.
Dissuasion visuelle et sonore – supplémentation de la protection
Les craintes pour les moineaux, les cassettes brillantes, les miroirs, les brise-vent ou les émetteurs échographiques peuvent être effrayés par les oiseaux, les lièvres et la marten, mais leur efficacité peut être limitée. Les animaux s'habituent aux stimuli permanents, il vaut donc la peine de changer leur emplacement et leur type. Les dispositifs dissuasifs modernes fonctionnent sur l'infrarouge ou s'active en réponse au mouvement, émettant de la lumière ou du son. Ils travaillent surtout la nuit, par exemple dans le cas des sangliers.
Surveillance et coopération avec les voisins
Un élément supplémentaire de protection efficace est l'observation de la zone et la réponse aux conditions changeantes. Les animaux peuvent être actifs de façon saisonnière – le printemps et l'automne apparaissent plus souvent. Une bonne solution est également la coopération avec les voisins: la protection conjointe des parcelles, l'échange d'informations et d'expériences, ou même les achats conjoints d'équipement (par exemple, le dissuasion) peut avoir un meilleur effet que de travailler seul.